O say can you see by the dawn's early light,
What so proudly we hailed at the twilight's last gleaming,
Whose broad stripes and bright stars through the perilous fight,
O'er the ramparts we watched, were so gallantly streaming?
What so proudly we hailed at the twilight's last gleaming,
Whose broad stripes and bright stars through the perilous fight,
O'er the ramparts we watched, were so gallantly streaming?
Oui. Je sais. Ca va faire un
bail. Mais en même temps, quand je vois le rythme de publication de Delphine,
je me sens moins coupable de ne publier qu’aujourd’hui.
Bientôt un mois et demi dans
cette ville. Le temps passe bien trop vite. The
city that never sleeps en même temps. Mais justement, ça commence à être un
peu too much. Je viens de Cergy
(Courdimanche pour les plus connaisseurs) et j’ai fait mes études à Lille. Bon,
ce serait exagéré de ma part de dire que je suis un gars de la campagne mais
quand même. New York ça étouffe. C’est pourquoi j’ai décidé ces derniers week
ends, de partir faire le tour des villes d’à côté.
Première destination : Philadelphie. Départ en bus le matin, deux heures de trajet et me voici arrivé dans la ville. Ca ne change pas beaucoup de New York, des buildings et encore des buildings. Mais au fur et à mesure que j’avance dans la ville, je découvre des quartiers bien plus calmes et plus verts. Philadelphie est une ville au passé historique riche. Berceau de la Révolution, c’est ici que Washington a commencé a soulevé le peuple américain contre la colonisation. Du coup, ils sont montés jusqu’à Versailles et ont demandé la tête du roi Louis XVI… pardon, mauvaise Histoire. Bref, la ville est fière de son passé et veut le montrer à travers tous les musées dédiés à cette période.
On croise parfois des bâtiments à
l’architecture européenne, et ça fait pas mal de bien pour le Français que je
suis.
Après une longue marche, je
décide de m’arrêter manger la spécialité locale : le Cheese Steak. Du
pain, des morceaux de bœuf, de la sauce fromage. Un peu poussé d’appeler ça une
spécialité mais ça reste gras (donc bon ?). Et puis je repars me balader
dans les streets of Philadelphia (la la
la la la). Avant de reprendre le bus pour rentrer sur New York le soir
même : je croise un groupe de cyclistes. Tous nus. « Only in Philadelphia! »
they said. Alright.
Le week end d’après, c’était
celui du Labour Day. C’est bien connu, les jours fériés ici sont rares. Alors
dès qu’un long week end se pointe, tout le monde en profite pour partir
entraînant une augmentation des prix des billets et des hôtels à un niveau plutôt
élevé. Résultat tout est trop cher. Mais Marie K., la McGyver du voyage, nous a
dégotés un petit séjour à Milford en Pennsylvanie dans un ranch.
De la lecture.
Interville à côté, c'est de la gnognotte.
Le show commence. C’est intense
et impressionnant. Mais je pense qu’il faut être fan. Car voir un mec se dandiner
sur une vache, ça va 5 minutes. Deux heures, ça devient long. Mais les
disciplines s’alternent et au final on se prend au jeu et surtout à l’ambiance.
Et l’ambiance est devenue de plus
en plus chaude durant l’After DJ Party. Tous les cowboys se sont donnés
rendez-vous au Saloon du ranch pour faire la fête. Alors oui, c’était de la
musique country et les gens dansaient le quadrille. Mais au moment où Nikki
Minaj a bougé son superbass et que Rihanna found love in a hopeless place, je
peux vous dire que le spectacle était extra ! Une bonne soirée.
Mieux que n'importe quelle boîte du monde !
Pfiou.
Pfiou bis.
Oui, nous sommes à plaindre.
David.
David.
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